Aujourd’hui, en France, une femme meurt
tous les 2,5 jours sous les coups de son compagnon. Et la police se
montre complaisante envers les compagnons violents, qui, plus tard,
seront susceptibles de devenir à leur tour des meurtriers.
On ne parle pas assez de l’angoisse au quotidien de ces femmes, des
enfants, qui ont à subir ces violences, qu’elles soient physiques ou
morales, de la soumission induite dans les rapports, des non-dits, des
cachotteries que l’on doit faire aux familles, quand celles-ci ne
détournent pas les yeux en jouant les Tartuffe.
Le simple fait que la police conseille une main courante au lieu
d’enregistrer une plainte est un indicateur sur notre société : les
femmes battues, ça dérange.
Personne ne me fera croire que les voisins
n’entendent pas les cris, les pleurs. En vérité, la société est complice
de ces hommes : la peur de devenir une de leurs victimes, la lâcheté,
l’égoïsme sont autant de raisons pour les bien pensants de ne pas
intervenir.
Pourtant, nous sommes au XXIe siècle, il paraît. Mais le couple, lui : dans quel siècle est-il resté ?
On ne parle pas assez de l’angoisse au quotidien de ces femmes, des enfants, qui ont à subir ces violences, qu’elles soient physiques ou morales, de la soumission induite dans les rapports, des non-dits, des cachotteries que l’on doit faire aux familles, quand celles-ci ne détournent pas les yeux en jouant les Tartuffe.
Le simple fait que la police conseille une main courante au lieu d’enregistrer une plainte est un indicateur sur notre société : les femmes battues, ça dérange.
Personne ne me fera croire que les voisins n’entendent pas les cris, les pleurs. En vérité, la société est complice de ces hommes : la peur de devenir une de leurs victimes, la lâcheté, l’égoïsme sont autant de raisons pour les bien pensants de ne pas intervenir.
Pourtant, nous sommes au XXIe siècle, il paraît. Mais le couple, lui : dans quel siècle est-il resté ?